Enseignant au département de sciences de l’éducation et de la formation de l’Université de Bretagne Occidentale.

J’ai exercé durant 15 ans comme professeur des écoles et maître formateur en classe bilingue breton – français. Ma recherche doctorale (universités de Rennes 2 et de Genève), tout comme mes recherches actuelles, concerne l’appropriation sociolinguistique du breton chez les élèves des filières bilingues.

Publications :

Larvol, G. (à paraître). École et revernacularisation, Fonctions symbolique et communicative de la langue dans l’enseignement en breton. In H. Pentecouteau, C. Le Henaff, & A. Filhon (Éds.), Breton, gallo, arabe… et autres langues Diversité linguistique, éducation et transmission en Bretagne. PUR.

Larvol, G. (2022). « Sinon ça restera la langue de l’école… » – Favoriser l’appropriation sociolinguistique du breton dans les filières bilingues de l’école élémentaire [Thèse de didactique des langues]. Université Rennes 2 ; Université de Genève. https://archive-ouverte.unige.ch/unige:166228

Larvol, G. (2022). Les défis de l’enseignement en breton : L’exemple de l’appropriation sociolinguistique. La Bretagne Linguistique, 24.

Larvol, G. (2022). Enseignement bilingue précoce et revernacularisation : De l’apprentissage à l’appropriation. In N. Sorba (Éd.), Transmettre les langues : Pourquoi et comment ? : Les défis pédagogiques—Volume 2 (p. 65‑91). EME Editions.

Larvol, G. (2021). Peut-on didactiser l’appropriation sociolinguistique en contexte minoritaire ? Recherches en didactique des langues et des cultures. Les cahiers de l’Acedle. https://doi.org/10.4000/rdlc.9523

Larvol, G. (2021). Enseignement en langues « régionales » : La parité horaire en question [Contribution à la mission parlementaire Euzet – Kerlogod]. https://kelennomp.bzh/wp-content/uploads/G-LARVOL-La-parit%C3%A9-horaire-en-question-07.09.21.pdf

Adam, C., & Larvol, G. (2019). Scolarisation bilingue et appropriation d’une langue (minoritaire). Revue TDFLE, n°1-2019. http://revue-tdfle.fr/actes-1-44/134-scolarisation-bilingue-et-appropriation-d-une-langue-minoritaire-